
Je le mordille son sein bombé tacheté de rousseurs éparses Je le caresse du bout du bout des doigts l’effleure à fleur d’une plume élancée L'ombre portée du plafonnier plonge prolonge allonge la courbure du dessein sur sa peau nacrée Je m'en vais l'embrasser tendrement obligé d'écourter ce poème pour vivre le moment (Qu’elle a de beaux seins ! ) Par Pierre Blanchard