A terre sur un pavé de grès
aux mille pas foulés
un rectangle marron
usé
trempé
je me penche
me baisse
le ramasse
; un porte-feuille
je l'examine
l’ouvre
le parcours
le feuillette
en tête-à-tête
avec cet inconnu
que l’image
de son Identité
de sa carte Sociale
de ses photos
de ses tickets de caisse
une violation dans son intimité
une fouille sans son accord
une curiosité malsaine
me pousse à en découvrir les secrets
malgré moi
quel étrange premier rendez-vous
me direz vous
Par Pierre Blanchard
Votre texte me rappelle un article magnifique du blog d’Aldor https://wordpress.com/read/feeds/57252654/posts/2962837687
« Le prochain c’est celui dont on s’approche »
Très bel article…
J’aime votre poésie car elle me rappelle l’article d’Aldor, elle entre parfaitement en résonance.
Belle soirée Pierre
Corinne
C’est une très belle phrase, à méditer. Ça m’est venu d’un coup comme tous mes poèmes, à l’instinct. Ça m’est arrivé en vrai, et je l’ai redonné au propriétaire. Merci pour votre commentaire, ça me pousse à continuer.
Bonne soirée
Votre texte me rappelle un article magnifique du blog d’Aldor
https://wordpress.com/read/feeds/57252654/posts/2962837687
« Le prochain c’est celui dont on s’approche »
Très bel article…
J’aime votre poésie car elle me rappelle l’article d’Aldor, elle entre parfaitement en résonance.
Belle soirée Pierre
Corinne
J’aimeAimé par 2 personnes
C’est une très belle phrase, à méditer. Ça m’est venu d’un coup comme tous mes poèmes, à l’instinct. Ça m’est arrivé en vrai, et je l’ai redonné au propriétaire. Merci pour votre commentaire, ça me pousse à continuer.
Bonne soirée
J’aimeAimé par 1 personne
Bien sûr, continuez !
Et bravo pour l’instinct, c’est pour moi la meilleure source.
Corinne
J’aimeAimé par 1 personne